L’actualité a fait réfléchir sur le sujet délicat de la radicalisation. Le kinésithérapeute au quotidien peut être confronté à des patients en voie de radicalisation ou déjà radicalisés.
Quels sont ses devoirs et surtout quels sont ses droits au regard du code de déontologie. Quand sa conscience lui dicte de signaler des gens potentiellement dangereux pour la société et pour eux mêmes et que la loi lui impose de garder le secret.
Une circulaire très documentée sur le sujet a été éditée par le CNO. Vous y trouverez en détail ce qu’il faut savoir sur les processus de radicalisation afin de ne pas faire fausse route sur une simple présomption. Vous y trouverez aussi tout ce que vous pouvez faire si vous estimez qu’en votre âme et conscience vous vous devez de faire un signalement.
La circulaire est consultable en CLIQUANT ICI et vous pouvez toujours vous rapprocher de votre Conseil Départemental qui vous portera assistance.
